lundi, juin 12, 2006


Ouais ouais ouais ouais ouais. J'avais promis. Je l'avais dit devant témoins. Que du drôle. Mais c'est pas possible. Week-end rock'n'roll certes mais désastreux. Vidé, déçu, désenchanté. La mort dans l'âme. Et si j'étais mort ? Si en fait je n'avais pas réchapper de cette expulsion de bagnole. Ceci expliquerait pourquoi je n'arrive à joindre personne. Tout mes nouveaux amis n'existent pas en fait. Quoiqu'ils n'existent déjà plus. Les anciens ? Ils sont où ? Les filles ? Fantômatiques... c'est donc ça alors : je suis mort.
Hier soir la terrasse jusqu'à deux heures du mat' aurait dû m'alerter. C'était la pleine lune paraît-il, mais alors pourquoi n'est-elle jamais apparue ?
Un espagnol bat un suisse sous le regards de milliers de gens. "Trop fort" titre un journal, trop fort mon cul, qu'est-ce qu'on en a à foutre bordel ?!?!! Et la grimbergen, ça rend con aussi. Salut à toi qui m'a refusé l'accès à ton resto-bar-prout. Les abbesses se noient. Salut à toi qui m'aura remis sur les rails pour saboter mon bonheur naissant. Sans rancune. Le 18 s'effondre. Salut à toi qui m'a torturé. Aux bons souvenirs. Paris n'est qu'un bruit. Celui du vent.
Question : est-ce qu'on trouve ce qu'on cherche ou est-ce qu'on cherche ce qu'on trouve ?

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