vendredi, juin 30, 2006


Hey groovy groovy !
Non non j'suis pas mort, j'dois juste avouer qu'y'a rien à ajouter. Long week end animé en perspective alors y aura du blog dans deux jours. Et des photos. Et de la chaleur. Très chaude la chaleur.

mercredi, juin 28, 2006

Et une semaine de retard !!


L'entrecroisement des diverses scènes du quartier participent à la cacophonie ambiante. Les troquets profitent de l'occasion pour augmenter les tarifs et nous, le ton. Rapides salutations, bavardages écourtés, vaut mieux trainer seul, et de connaissance en connaissance. Heureux de t'avoir revu la belle, même malade tu es ravissante. Le carré VIP sert à protéger de la pluie, boire gratos, se montrer à la fenêtre, faire la bise aux jolies filles. Le bras cassé inspire la compassion dans l'oeil du Dj. C'est beau. Retrouvailles et rencontres nocturnes, nuit blanche et rendez-vous manqué. Merci pour la discussion et tout et tout B.B.
Je profite de l'avion pour esperer siester. A peine la somnolence me gagne qu'une superbe brune aux yeux verts apparaît à mes côtés. Mais d'où sort-elle ? Quelle envahissante douceur orientale. Fin de la malédiction du mauvais voisin, j'atterri avec une adresse en poche.
Il paraît que la roue tourne.

lundi, juin 19, 2006

Pompette à la Pomponnette


Championnat de pétanque sur le Canal de l'Ourcq. Une grande équipe est née sous l'oeil intelligent de Luna. Les"homonymes". Félicitations même si la nuit et le pastis (et mon équipe hé hé) ont mis fin à cette magnifique série de victoires. La nuit était trop belle et ne pouvait qu'être longue. Certains sont partis trop tôt mais les derniers résistants que nous sommes se rendirent pompettes à l'assaut de la pomponnette. Quelle fausse surprise de croiser celle qui nous (m'a) zappé complètement. C'est fou ce que les gens sont vite gênés. C'est pas grave, t'es toujours aussi belle même si ton pantalon était très laid.
Retour très long : les boules dans la glacière, la démarche en zig zag, seules les photos permettent encore le souvenir. Une botte, un horodateur, un type à bonnet.
Après un samedi comme celui-là le dimanche ne pouvait plus ressembler à grand chose. Rien de tel qu'une rediff' de Thalassa pour s'apercevoir qu'il y en a qui passent des week end de ouf à chopper des icebergs au lasso. T'en penses quoi de tout ça Luna ?

mercredi, juin 14, 2006


Ce n'est pas parce que mon bras ressemble à la jambe de Cissé que je dois être solidaire des bleus. Entendez par là l'équipe de France de Football. Attention, hein, on se moque pas des "bleus". Pourtant on appelle bien comme ça les nouvelles recrues dans l'armée, non ? Les p'tits jeunes qui connaissent rien. Les bleus. En attendant hier soir, moi qui croyais retrouver un esprit festif dans la ville lumière, quelle ne fut pas ma deception me promenant du 11eme au 20eme pour constater un Paris ville morte. La France perd et les terrasses pleurent. Suivait le match du Brésil dont plus personne n'avait rien à foutre ! Et la samba ? Et les strings ? Et les plumes dans le cul ? Rien !! A part quelques minettes qui étaient de sorties à la recherche de quelques mâles désinteressés de cette défaite 0-0 et qui étaient en fait désinteressées par la trilogie du mardi que nous formions, il valait mieux abdiquer. Heureusement nos horoscopes étaient synchro : pour eux, forme décontractée, pour ma pomme forme nonchalante. Ca s'est ressenti dans mon dernier mail du jour. C'est Raymond qui devrait être content... Raymond, mais si le type qui entraine la France et compose l'équipe d'après le signe astral des joueurs ! Ah ah, quand on vous dit que c'est sérieux le foot... Allez Caroline Alexandre : au boulot !!

lundi, juin 12, 2006


Ouais ouais ouais ouais ouais. J'avais promis. Je l'avais dit devant témoins. Que du drôle. Mais c'est pas possible. Week-end rock'n'roll certes mais désastreux. Vidé, déçu, désenchanté. La mort dans l'âme. Et si j'étais mort ? Si en fait je n'avais pas réchapper de cette expulsion de bagnole. Ceci expliquerait pourquoi je n'arrive à joindre personne. Tout mes nouveaux amis n'existent pas en fait. Quoiqu'ils n'existent déjà plus. Les anciens ? Ils sont où ? Les filles ? Fantômatiques... c'est donc ça alors : je suis mort.
Hier soir la terrasse jusqu'à deux heures du mat' aurait dû m'alerter. C'était la pleine lune paraît-il, mais alors pourquoi n'est-elle jamais apparue ?
Un espagnol bat un suisse sous le regards de milliers de gens. "Trop fort" titre un journal, trop fort mon cul, qu'est-ce qu'on en a à foutre bordel ?!?!! Et la grimbergen, ça rend con aussi. Salut à toi qui m'a refusé l'accès à ton resto-bar-prout. Les abbesses se noient. Salut à toi qui m'aura remis sur les rails pour saboter mon bonheur naissant. Sans rancune. Le 18 s'effondre. Salut à toi qui m'a torturé. Aux bons souvenirs. Paris n'est qu'un bruit. Celui du vent.
Question : est-ce qu'on trouve ce qu'on cherche ou est-ce qu'on cherche ce qu'on trouve ?

dimanche, juin 11, 2006


La vie elle est toute morte.

samedi, juin 10, 2006


La copa del mondo est lançée et nous aussi. Dans les rues, dans les troquets, de Montmartre à Oberkampf en passant par Cadet et je ne sais encore. Les quais étaient pleins de trop de monde, la chaleur estivale excitait les sens et la marche assurée empêchait l'ivresse précipitée. Combiens de km parcourus combien de bars fréquentés, difficile à dire. Un couple de vieux fous, une voiture coincée par une bite et deux filles qui nous sourient, un pauvre type debout sur la table, en chaussette et short, mais la fille derrière au fond me rappelle qu'elle n'a pas rappelée alors on s'en va. Une voiture chargée de gravats et l'entrée à l'AlG comme des vieux hab' et les vieilles qu'on séduit toujours quand on est nous. Et puis se faire offrir ce dernier verre après avoir tout misé dessus n'est-ce pas une petite victoire pour deux âmes en peine ? C'est qui "en peine", me diras-tu et t'auras raison. Le gagnant restera le taxi.

vendredi, juin 09, 2006


Anne Teresa De Keersmaerker, oui de la danse, oui le théâtre de la Ville, si c'est pas beau tout ça. 14 à danser des femmes, des hommes, des petits, des grands, des muscles, pour ça y'a son pesant de muscles, de la musique, des très jolies filles. Sortie inattendue puis tant attendue puis on s'en fout. Ce qui est drôle c'est de boire un verre avec toute la troupe qui vous a fait halluciner quelques minutes auparavant.
Des rebondissements comme cette semaine, comme ce match de foot à la con : dérapage, réussite coup de chance inerspéré, arrivée triomphale, départ triste. L'allégorie du foot. Le fin du fin.
La photo c'était pour montrer que j'avais de la moustache mais ça se voit pas. Même en vrai ça se voit pas. N'est pas Clarke Gable qui veut.
Bon vent.

lundi, juin 05, 2006


Tchoudi !!!! LE chien coiffé par J. Dessange. La classe internationale !! Tchoudi Tchoudi, les buttes au lieu de la butte et le monde change et un gros soleil brille, ah bon y'avait des nuages ? Où ça des nuages ? Tchoudi tchoudi !! vient manger du sauciflard ! Et blabla qu'est-ce que ça raconte sur les mecs les filles... taille de biceps, cheveux gomminés, poils ou pas poils, tu veux de la crème, ton bras on s'en fout y'a tout le reste qui marche blabla, tchoudi tchoudi !! Ouh mé-il-a-un-copaindidonc ! Attention tchoudi tu te fais grimper ! Ah bon on y va ? Pourquoi je reste planté là à regarder le soleil partir, mais parce que je prend le bus avec les yeux grands ouverts (eyes wind open ! ah ah ! wind open tu me feras toujours rire).
Le soir attention très people, La Famille, tu payes avec des dominos ton enculage, non ça ira j'ai de la monnaie. Mais ki sont tous beaux tout le monde, mais il est où Tchoudi ? a pu tchoudi, même pas à la famille dommage c'était le mieux coiffé. Tchoudi Tchoudi reviens on rigole !

samedi, juin 03, 2006


D'errance en errance c'est grâce au mot magique Garance qu'on est entré à la soirée Sabotage. L'accueil sentait l'alcool, nous aussi mais le laisser-passer vip ça fait toujours genre surtout quand on est rien. Roquencourt peut se rhabiller. Evidemment la musique mixée par Eurkaïve enfin, Archive quoi, je précise au cas où, s'adressait au plubic de ouï fm, mais c'est sympa cette ambiance bien que coincé au bar à avaler des gin to' trop glacés. Avant ça, le vélo était si bô que j'espère qu'elle nous laissera des p'tits mots au 96, inversion rigolote mémotechnique. Un jour une 103, un autre un vélo. Le cupidon floué dans son après-midi a su se rattraper dans la soirée. Moi je dis : vive l'Asie !

jeudi, juin 01, 2006


Mais quelle soirée ! Parti de rien pour arriver nulle part, une tournée des bars s'est imposée d'elle même confirmant l'inaudibilité du mardi Chappe, découvrant l'happy hour du Tagada, poussant les retrouvailles au takbo et finissant sous les jupes froides : fallait du carburant pour durer. Lendemain tranquille évidemment pour une soirée voisins dans un immeuble où l'on est pas voisin, c'est un concept mais la brochette valait le déplacement pour un fond de champagne et des discussions aiguisées. Bâtiment C, Mlle C, ça fait beaucoup de C, il fallait bien quelques mousses pour tout faire passer. Quelle ne fut pas la surprise et l'étonnement de voir arriver vers 1h30 le Père Noël himself. La caillette n'étant plus au menu qu'il commanda un demi pour la postérité, l'abandonnant fraîchement servi sans même y toucher. Quel raffinement. Le père Noël serait-il un vampire ?
Quoiqu'il en soit la terrasse du printemps en automne vaut le déplacement même si ça fait se déplacer les autres, m'en fous j'ai commencé le harcèlement va falloir réfléchir sans se prendre la tête. Est-ce réellement réalisable ?