Slash feat. Myles Kennedy and the Conspirators "Apocalyptic Love"
C'est sous ce nom à rallonge que Slash, qu'on ne présente plus, sort son deuxième album solo qui n'en est pas un, puisqu'il est entouré de son nouveau groupe. Slash, malgré le succès planétaire de sa carrière sous les différentes formations des Guns n'Roses au Velvet Revolver en passant par le Slash's Snakepit, la virtuosité reconnue de son jeu, et son indévissable chapeau, est un guitariste de groupe. Point de mise en avant à outrance de ses talents guitaristiques, de longues envolées aériennes ou nerveuses à la Vai ou Satriani. Le gars reste profondémment rock. Il sait, là où il est efficace dirait-on. Donc, cet album ressemble à un album issue de la maturité de plusieurs artistes puisqu'il a d'ailleurs été écrit par ledit Slash et Myles Kennedy, son désormais chanteur. Fini les invit', place à la relation stable. Le résultat est là. Le premier album "Slash", parlons-en un peu, était intéressant puisque chaque morceau semblait appartenir à son interprète, du moins dans le style qui lui était accordé, Lemmy faisait du Motörhead, Ozzy du Ozzy etc. Dommage qu'il n'y ai pas eu Axl Rose on aurait eu du Guns n'Roses. Bon quelques morceaux sortaient de ce contexte comme celui avec Andrew Stockdale de Wolfmother, ou celui avec Fergie. Bref, revenons à Apocalyptic Love et sa pochette bien trempée. C'est du classique Rock'n'roll californien, s'eut pu être une pochette de Mötley Crüe, il y a de la gonzesse bien roulée, des crânes, le bien - le mal ou plutôt le vice en rouge et.. heu le vice mais en blanc, et la signature du chef est là : chapeau, guitare. Le graphisme est quand même réussi. Après l'emballage le contenu : un album très bien produit. Le son est nickel, et heureusement et les morceaux s'enchaine très bien. Myles Kennedy trouve un registre un poil plus grave que d'habitude, ce qui nous sort de son autre groupe Alterbridge. La guitare sonne à merveille forcément, et surtout Slash montre sa virtuosité sans trop en faire ce qui est vraiment agréable. On reste dans le registre rock, même si l'intro de l'album sonne un peu funky, on passe vite à la vitesse supérieure en matière disto. Les morceaux s'enchainent bien et on appréciera la qualité des balade. Un petit regret cependant pour la batterie un peu en retrait... Bon je me permets une critique rapido je n'ai écouté l'album que 4 fois... On aura hâte de l evoir sur scène sauf que... sauf que Slash ne passera en France que pour le Hellfest. Dommage, quand on sait qu'il joue en première partie de Mötley Crüe sur plusieurs dates européennes... Mais si, je vous le dis : Mötley Crüe c'est bien, c'est pas ringard... Je vous ferai la chronique de leur passage parisien, tiens, faites-moi confiance !
Bon allé, j'vais me réécouter ça. Pour info il existe deux versions de cet album : une simple et l'autre rehaussé de deux inédits et d'un dvd. Pour Deux euros de plus dans mon souvenir... le choix est vite fait.
A bientôt.
jeudi, mai 24, 2012
lundi, avril 30, 2012
Jack White et Daniels
Jack White sort son album solo. Ca ressemble forcément à du Jack White, tantôt rock, tantôt blusy avec touche country sans jamais l'être vraiment... du Jack White, quoi! On a quand même un peu le sentiment qu'il a ressorti des titres non publiés des White Stripes et des Dead Weather pour deux, trois titres (non je ne les citerai pas, à vous d'écouter !). Mais c'est bon : guitare, piano, voix, bonne section rythmique, tout y est. Pour ma part j'ai décidé de ne pas aller le voir en concert, je l'ai trop vu et je n'ai vraiment plus les moyens. Mais je suis quand même curieux du résultat scénique ! Par contre j'essaye de comprendre son besoin de faire des photos de lui avec des oiseaux curieux, ou des tenues kitsch, de prendre cet air de ne pas y toucher alors qu'il pose complètement. Je l'ai raté lors de son passage au musée de la nature et de la chasse, alors que j'y vais régulièrement. Dommage ça doit être intéressant de lui parler, ne serait-ce que pour savoir s'il a déjà écouté les Beatles ? Bah oui il parle toujours des mêmes entités du blues, les Johnson, House, Wolf mais le rock anglais dans tout ça? Bon je raconte n'importe quoi.
En parallèle du Jack nouveau est paru le dernier tome des aventures du Bourbon kid qui reprennent là où c'était arrêté le second (oui, faut suivre)... et c'est tant mieux! Je vais vous laisser : je dois reprendre ma lecture.
Bon 1er mai à toutes et tous !
En parallèle du Jack nouveau est paru le dernier tome des aventures du Bourbon kid qui reprennent là où c'était arrêté le second (oui, faut suivre)... et c'est tant mieux! Je vais vous laisser : je dois reprendre ma lecture.
Bon 1er mai à toutes et tous !
jeudi, février 09, 2012
The Answer 28/01/12 - La Maroquinerie, Paris

Trois jours après les Black Keys, c'est dans une petite mais néanmoins célèbre salle parisienne, la Maroquinerie, que je me suis rendu pour assister au concert des irlandais de the Answer. Leur dernier passage en la capitale étant à l'insignifiant Stade de France (1ere partie d'AC/DC), il me tardait de les retrouver dans un lieu à dimension humaine. Là encore une bonne surprise : le son est excellent. J'ai du mal à croire que cette salle peut accueillir 500 personnes, mais là, ça m'avait l'air complet ! Les Answer sont visiblement heureux d'être là et enchainent leurs magnifiques titres, entrecoupés de long discours du chevelu chanteur. Qui a dit qu'il n'avaient pas de hit (heu.. Rock'n'Folk, non ?) Le public reprend en coeur la plupart des morceaux, leurs deux derniers albums regorgeant de pépites. La touche seventies est présente sur scène mais le public est beaucoup plus hétéroclite. Ca fait du bien de voir un bon groupe relancer le style musical à la Led Zep tout en le réactualisant. S'inspirer de ce qui s'est fait de mieux en lui donnant une grosse patate, The Answer y arrive sans problème. On n'a plus qu'à attendre l'arrivée de Parlor Mob et le retour de Wolfmother en France et l'année sera parfaite question nouveautés. Parce qu'en attendant il va falloir faire honneur aux ainés : Mötley Crüe (mais si, allons, un petit effort) qui d'ailleurs accueille Slash en 1ere artie à Berlin, -pourvu qu'il le fasse à Paris (!!) le 18 juin- et Black Sabbath le lendemain (pourvu que Tommy soit guéri !).
Bon vent !
The Balck Keys - 25/01/2012- le Zénith, Paris
Après leur dernier passage à Paris à l'Olympia, merveilleuse salle pour leur style et leur présence, re-voici The Black Keys au zénith. On pouvait craindre une salle trop grande et un son médiocre au vu des derniers concerts (voir derniers post) auquels j'ai assisté dans cette salle. Et bien le duo d'Akron-désormais-Nashville se déplacant avec sa régie à l'oreille fine et connaissant la passion pour les sonorités des deux compères, le son, donc était au rendez-vous sous la fausse tente de la Villette. Que du bonheur. Les Black Keys offrent un concert magique dans les lights shows époustouflants bien que simples, comme quoi si tous les groupes pouvaient se rendre compte à quel point la mise en scène lumière et même les accessoires de décors peuvent agrémenter un live, parce que le son c'est bien mais avec un visuel en plus, c'est mieux. Revenons dans le vif du sujet : souvent transformé en quatuor, le groupe a délivré un live comme à son habitude : féroce, puissant, mélodique. Tout dans l'humilité, les petits mouvements (déplacement ou danse?) de Dan, l'indéniable communion entre les musicos, l'hallucinante facilité de Pat, fut une réelle partie de plaisir. S'ils ressortent les effets des concert précédents c'est associé au nouvel habillage scénique qui accompagne le nouvel album (el camino, faut-il le rappeler?), étoffant encore et toujours leur jeu de scène. Le public est conquis, même si la majorité semble attendre le hit Lonely Boy, qui sera accueilli avec une ferveur étonnante. On se serait cru en boîte. Si les puristes rock-blues étaient présents dans le public, il faut l'avouer : les Black Keys font l'unanimité et ont ratissé large depuis leur début intimiste. Le public est féminin, jeune, déchainé. Ou alors je vieilli. Tant mieux pour eux, même si on regrettera que leur désormais "tubes" soient ultra diffusés, surtout dans les spot de pub pour bagnole. A force ca crispe un peu quand même... Mais il vaut mieux du Black Keys que du Rihanna, n'est-ce pas ?
mercredi, décembre 07, 2011
Black Stone Cherry, Alter Bridge 04/11 - Motörhead 21/11
Enfin un concert qui valait son prix.. Hormis la qualité sonore désastreuse (oui c'est déjà beaucoup), pour 34 euros s'offrir Black Stone Cherry et Alterbridge ça valait le déplacement. BSC présente un show hyper Rock, avec clichés à la louche, effet de style mais quelle efficacité. Le guitariste rythmique roi du headbanging et le bassiste arguant la foule n'ont de cesse de se croiser sur scène pour mettre du mouvement tandis que le batteur semble bel et bien inspiré par Animal du Muppet Show himself. La voix impeccable du chanteur mais hélas la trop mauvaise qualité de la prise son ont empeché d'apprécié ses solos.
Pour Alterbridge le son est mieux équilibré pour les guitares mais cette basse (6 cordes?) trop omniprésente et étouffante. Le groupe est appliqué, Myles parle trop pendant les morceaux mais ça à le mérite d'être vivant. On sent qu'ils s'amusent même si pour eux Paris reste une étape mineure, quand on pense qu'ils vont se faire Wembley en fin de tournée.
Quelques jours plus tard retour au même endroit pour y voir Motörhead. Les bons vieux routiers du Hard rock (ou rock, ou metal ou ce que vous voudrez, j'ai jamais été fort en étiquette), sortent l'artillerie lourde après la bonne première partie offerte par No One Is Innocent. Immobile mais omniprésent Lemmy balance les morecaux qui ont fait le succès du quator anglais. Le public est constitué quasiment que de graisseux arborant le T-Shirt au nom de la tête d'affiche. Petit bémol : le zénith aurait pu prévoir la rupture de stock de bière à mi-parcours... putain, c'est pas Justin Bieber qui passe bordel. En réponse à ce type rencontré au bar qui larmoyait en s'inquiétant de l'après-motorhead, et qu'il ne resterait alors que ACDC, ZZ Top et Metallica (les "petits jeunes" comme il disait) je le rassure : Airbourne, The Answer, Parlor Mob, Wolfmother, Buckcherry etc. sont jeunes et bien présents. Ils ont la bonne patate. Et puis les vieux sont éternels puisqu'on annonce un nouvel album de Black Sabbath version line up originel et leur passage au Hellfest.
Achetez, offrez des cd ou/et des vinyles !!!!! Que vive le rock !!!
Pour Alterbridge le son est mieux équilibré pour les guitares mais cette basse (6 cordes?) trop omniprésente et étouffante. Le groupe est appliqué, Myles parle trop pendant les morceaux mais ça à le mérite d'être vivant. On sent qu'ils s'amusent même si pour eux Paris reste une étape mineure, quand on pense qu'ils vont se faire Wembley en fin de tournée.
Quelques jours plus tard retour au même endroit pour y voir Motörhead. Les bons vieux routiers du Hard rock (ou rock, ou metal ou ce que vous voudrez, j'ai jamais été fort en étiquette), sortent l'artillerie lourde après la bonne première partie offerte par No One Is Innocent. Immobile mais omniprésent Lemmy balance les morecaux qui ont fait le succès du quator anglais. Le public est constitué quasiment que de graisseux arborant le T-Shirt au nom de la tête d'affiche. Petit bémol : le zénith aurait pu prévoir la rupture de stock de bière à mi-parcours... putain, c'est pas Justin Bieber qui passe bordel. En réponse à ce type rencontré au bar qui larmoyait en s'inquiétant de l'après-motorhead, et qu'il ne resterait alors que ACDC, ZZ Top et Metallica (les "petits jeunes" comme il disait) je le rassure : Airbourne, The Answer, Parlor Mob, Wolfmother, Buckcherry etc. sont jeunes et bien présents. Ils ont la bonne patate. Et puis les vieux sont éternels puisqu'on annonce un nouvel album de Black Sabbath version line up originel et leur passage au Hellfest.
Achetez, offrez des cd ou/et des vinyles !!!!! Que vive le rock !!!
mercredi, juillet 13, 2011
Slash à Paris (le Zénith) le 12 Juillet 2011
Presque un an après les Axl Roses and the New Guns voici le retour de Slash, 3eme passage parisien (Bataclan, stade de France, Zénith). Accompagné de Myles Kennedy de Alterbridge, le californien s'est emparé de la scène et du public pour un show époustouflant tout en guitares et en mélodies. Avec un seul album comment tenir 2h00 ? Eh bien en rejouant tous les tubes des Guns'n'Roses pardi ! C'est forcément bon. Etonnemment la voix du chanteur rapelle celle de l'original, le bon Myles se mettant même à copier son aîné dans ses postures. L'ambiance était réellement sensationnelle, le public acquis était vraiment vivant et participant (tout le monde chantait, quoi). Ce qui a permi à la première partie les Pornqueens de se régaler, en prenant un vrai "plaisir partagé" à jouer comme s'ils étaient devant leur public, fait rare pour les guests, comme on dit. Le gros son étant réservé à la tête d'affiche on peut dire que ça dépotait bien avec Slash. Night train, Rocket Queen, Mr Brownstone se mêlaient aux titres de l'album solo du mythe à chapeau. L'inévitable Sweet Child O'Mine et le définitif Paradise City furent acclamés, tandis qu'il se permettait de jouer l'instrumental et même de jouer "son" morceau : la B.O. du parrain. Même le bassiste (que l'on a pu voir sur la tournée des actuels Guns'n'Roses comme quoi...) s'est mis au chant. Curieusement l'effet placé sur les voix faisaient que tous avaient celle d'Axel. On se met a rêver d'une reformation originelle.
Du bon, du lourd, du nostalgique et du nouveau : un -vraiment- bon concert pour un grand guitariste en solo mais bien entouré. Rock & F'n'Roll
Du bon, du lourd, du nostalgique et du nouveau : un -vraiment- bon concert pour un grand guitariste en solo mais bien entouré. Rock & F'n'Roll
jeudi, mars 17, 2011
Propos inutiles mais toi aussi, reconnais les films dont il est fait référence

Après avoir diffusé une photo du légendaire inspecteur Harry sur l'inévitable FB, je me suis posé une question dans le métro. Une seule, oui, le matin je n'aventure pas mon cerveau vers des horizons psychiques dangereux. Clint et moi avons beaucoup de points communs hormis son affreux goût pour le jazz. Nous aimons tous les deux les gros flingues, on critique les asiatiques mais on leur donne une Ford Torino dès qu'il le faut (une fois mort), on aime les costumes marrons, on a un problème de non maîtrise capillaire à sec, on perd son coéquipier à chaque mission importante, on aime les femmes des autres et ça fini mal, on aime les chapeaux, on a joué à la gue-guerre dans notre jeunesse, on aime les ratés qui jouent de la guitare, on préfère la compagnie d'un orang-outang à celle des hommes, on aime les pick up, on est des solitaires mais on tombe amoureux des chieuses qui vous polluent la vie, on s'intéresse au rugby même si on ne suis pas vraiment les matchs. Bref Clint et moi on est pareil. Sauf que la vie n'est pas un film de Clint Eastwood. Encore moins un film de Dany Boon me direz-vous. Et heureusement, je n'ai aucun point commun avec Dany Boon. Alleluhia.
mardi, mars 15, 2011
Fin de la vie électronique

Et voilà. Une semaine après le téléphone Nokia-réputé-incassable-à-vie, c'est l'Itouch-2 ans-d'âge qui me lâche. Fini la musique dans les transports, dans la rue, dans les supermarchés. Rangé le beau casque vert fluo ultra dynamique machin mes couilles. Fini donc l'Itouch. Plus rien. Niet. Adios. Sayonara. Déjà quelques signes avant-coureur m'avaient mis la puce à l'oreille (c'est peu de le dire.. hin, hin, hin...). La journée commence mal, donc. Pas de musique, pas non plus de Zélium n°2. Introuvable. Que se passe-t-il ? Un accident avait repoussé la sortie du mensuel satirique mais là je m'inquiète et je fulmine. Parce que j'ai pris le métro sans musique et sans lecture... Forcé de partager mon trajet avec les quidam alentours, entendre le conversation à voix plus que haute, me retenir de ne pas soupirer fortement et de balancer dès "vous pouvez pas fermer vos putains gueules bordel ?"... j'ai failli faire demi-tour... rentrer chez moi, écouter du rock à fond. Heureusement ce soir : les Black Keys à l'Olympia... Touchons du bois...
lundi, mars 14, 2011

Je me suis procuré un skeud d'un groupe franchouille : Bukowski. Le nom est bien trouvé, la référence forcément respectable si ce n'est prétentieuse par son pedigree littéraire et alcoolémique. La pochette est chiadée également. Bref tout est attirant, il faut donc peut-être se méfier... J'écoute ça et d'entrée on remarque le niveau de qualité de l'enregistrement, le son est puissant et bien léché, belle prod, faut l'avouer. On se demande si c'est anglo-saxon ou... français parce que forcément quand c'est français impossible de vous dire pourquoi mais ça se sent. Pourtant le chant est en anglais, bien poussé, sans faute, non je ne sais pas, ça se sent comme le disait le groupe qui a raccroché (ah ah c'est nul...). Mais on s'en fout un peu parce que c'est bon. Le premier morceau est le meilleur : nerveux et mélodique. Après, ça ressemble un peu à du QOTSA, avec des réminicences de groupes des années 90 à la Kyuss pour la voix notamment, entre style stoner virant metal. Au bout de trois écoutes totales, il en ressort que c'est plus mélodique dans l'ensemble qu'il n'y paraît de prime abord. Par contre... par contre, oui, pourquoi faire un morceau nul à chier, genre private joke, on rigole, on l'enregistre quand même. Là il s'agit d'une beatbox qui n'a rien à voir là dedans, qui casse l'harmonie de l'album et rend soudainement tout ce qui suit inaudible, parce qu'on a plus envie de les écouter. L'art des groupes français à mettre une touche minable, le côté "c'est rigolo", qui fait amateur, qui n'amuse qu'eux. Putain le gâchis, les mecs, gardez ça pour vos amis, merde. Déjà qu'un album de plus de dix morceaux c'est chiant, alors évitez ça. C'est comme si en plein milieu d'un film de Jim Jarmusch le héros imitait Dany Boon dans les ch'ti. Ca calmerait aussi sec, non ?
Enfin, hormis ce dérapage propre aux jeunes groupes, l'ensemble est excellent quand même, un peu répétitif, mais le style impose cette osmose, dirons-nous. Même si c'est un peu regerettable au vu du premier morceau qui est vraiment excellent et dénote avec le reste. J'attends de voir ça en concert...
1 cd : Bukowski "The Midnight Sons"
mercredi, mars 09, 2011
Fin des White Stripes

C'est bien je passe par ici tous les six mois désormais... Mais finalement j'écris plus pour moi-même que pour d'éventuels lecteurs. Les blogs sont presque morts et c'est peut-être mieux ainsi, remplacés par l'abominable Facebook, qui a enterré les mails aussi et la discretion avec. Bref, à propos d'enterrement je reviens sur le fameux "2 février" qui, s'il marque la naissance de Lud Verglas (on s'en branle un peu mais on est chez lui), marque désormais la fin officielle des White Stripes. Aussi triste que cela puisse être c'est aussi une bonne nouvelle. Les White Stripes ont permis à plein de groupe de se faire connaître à un moment où les médias et les incultes pensaient que le "Rock" et l'envie de s'éclater au son distordu de guitares décharnées et de batterie martellée sans complexe étaient morts. Un son garage sur des riffs d'inspiration blues-rock voilà qui donnait un peu de feu dans les esgourdes. Ils auront marqués pendant plus de dix ans la scène musicale et fait jaillir un musicien, guitariste batteur chanteur producteur etc. : Jack White. Figure incontournable désormais dans le monde de la musique, issu du blues parce qu'il n'y a que ça de vrai et que peu à peu le monde s'en rend compte. Même les Rolling Stones se sont tournés vers lui bien que l'on ne connaisse pas bien encore son rôle dans leur futur... s'il y en a un d'ailleurs. Les White Stripes finis c'est triste pour Meg puisqu'il n'est pas sûr de la revoir et de l'entendre (boum boum boum) et surtout triste pour ceux qui ne les auront jamais vu sur scène en vrai évidemment parce que les dvd existent et sont captivant. En s'arrêtant maintenant ils entrent dans l'histoire du Rock. Car, oui, un groupe doit savoir s'arrêter.
Bonne(s) route(s) les amis.
(P.S. : je choisi une tof de Meg parce que Jack on va le voir et le revoir en couv' partout éternellement...)
mercredi, septembre 01, 2010
Philo de comptoire, bilan RockenSeine et autre.
Parce que je l'ai entendu récemment je vais commenter une phrase : "on sait ce que l'on quitte mais on ne sait pas ce que l'on trouve". Franchement si on quitte quelque chose ou quelqu'un on sait pourquoi (la raison, je veux dire). On ne sait pas ce que l'on trouve ? Ben ça peut pas être pire, non ? Ou pareil !? Donc cette phrase est à l'apogée de phrases toutes faites complètement connes. CQFD.
Je reviens des 3 jours de Rock en Seine où 1° je me prends systématiquement un coup de vieux, 2° heureusement il y a toujours plus vieux, 3° je découvre des nouveaux groupes, 4° je vois des vieux groupes (qui assurent quand même...) 5° j'évite les groupes phares "programmation-radio". Je ne suis donc plus un ado, je suis toujours curieux, je n'aime décidément pas la merde populaire !!!
Mes vacances ont été bonnes merci, elles auraient pu être meilleures si elle n'avaient pas commencé par l'enterrement de ma soeur (1964-2010), si j'étais milliardaire. Ou très pauvre. Vive le sud, le soleil, la mer... et l'Espagne !
mercredi, juin 23, 2010
d'un cheveu


Les bleus par-ci, les bleus par-là, les bleus gnagnagna... Mais qu'ont-ils tous à ne parler que de ça ce matin ? Personne n'est mort, ok ça coûte un max de thunes mais on s'en tape, non ? En tout cas vive Maradona, lui au moins après s'être vautré dans la kitscherie capillaire, les problèmes mafieux et enfoncé dans la coke jusqu'aux genoux il arrive et fou le bordel ! Vive le sport Diego !
A propos de délire capillaires l'été arrive et je remets ça : je m'écoute du Motley Crüe !! Qui l'eu cru ? Mais après tout c'est comme le Mondial : on s'en fout !!
Petite dédicace à mon ami fracturé de l'humérus... si à chaque mondial l'un de nous se fracture un humérus on va pas s'en sortir !
mardi, juin 22, 2010
Vive le Bourgogne

Faut reconnaître que le Bourgogne y'a pas meilleur comme vin. Tenez : même le cubi de Mecurey que j'ai entamé hier est à tomber parterre !!
je vais pas construire un studio de répèt, je vais m'installer une cave. Et puis j'y vivrai. Il y aura une couchette et une kitchenette. Et une table avec des chaises pour les invités.
lundi, juin 21, 2010
Un monde sans la France


Youhouuuuuu !!! pourquoi ? mais parce queeeeeee !!! Week end en Bourgogne : 5 degrés, pluie fine et pluie torrentielles, vent à décorner une charolaise ! elle est belle la nature, il est beau l'été ! Hé hé... N'empêche que j'ai pu boire du vin au coin du feu (ouiii au COIN DU FEU un 20 juin). Comme d'hab' après un tour chez mon caviste-négociant préféré je n'ai pu m'empêché de ramener des munitions à boire... Mmmmmhh. Rien qu'à goûter ce fut le bonheur : Pommard 2005, Gevrey Chambertain 2002, Beaune heu... je sais plus l'année tiens ! Mais que du bon. -Soupir- dur retour à la réalité parisienne et le flots de nouvelles concernant un seul et unique sujet : les bleus. Les connards en fait. On s'en fout de ces gosses pétés de thunes avec un pourcentage cérébral en desous de la moyenne d'un mulot. Des gamins friqués. Des gosses en survet' qui s'insurgent comme des ado attardés. Mais jeter leur une ba-balle ! ah non justement ils n'en veulent pas. Heu... un baby foot ? Une pute ? ah oui une pute... Finalement Hortefeux n'avait pas tort : quand il y en a un ça va, c'est quand ils sont plusieurs qu'il y a des problèmes... il parlait des bleus !! Alors les africains profitez-en s'il vous plaît, dites leurs aux français : RENTREZ CHEZ VOUS !!!!
lundi, juin 14, 2010
Bon voilà encore une semaine qui démarre à deux à l'heure. Après une nuit énième nuit blanche comment pourrait-il en être autrement ? La semaine dernière a quand même été sympa : concert mardi des Them Crooked Vultures, vraiment très bon, avec l'irremplaçable Dave Grohl à la batterie. de quoi foutre un colplexe à tous les batteur de la planète. Je crois qu'on a rarement vu une force de la nature aussi puissante et infatiguable depuis John Bonham. Bon ok Lombardo est assez exceptionnel aussi mais c'est autre chose. Au moins ce concert m'a permis d'oublier l'explosion de mes chiottes. Je l'ai cherché, ça faisait six mois que je devais les réparer. Mais ça coûte cher des chiottes quand on se fait entuber par le plombier. Jeudi diffusion du film sur les Stones et Exile. Je l'ai enregistré mais vu que le réparateur free est passé par là, il a peut-être effacé le disc dur. Je verrai bien. Week end familial. Pas de répèt'. J'ai maté un peu de la coupe du monde à la recherche des fameux noms de joueurs débiles : Kaka, koku, Anus et Jankulowsky (mais si cherchez bien, c'est le plus drôle). Hier l'équipe d'Allemagne nous amène son unique joueur de couleur. En plus il s'appelle Cacao. Ils sont forts ces allemands. Quel humour. A quand un joueur belge qui s'appellerait Lafrite ? Un français qui s'appellerait Ducon ou qui s'appellerion Kezac ?
Bon je vais me remettre à bosser dans cette ambiance caractéristique du bureau où les gens sont heureux de vivre. En fait, si, ils sont contents, c'est moi qui fait la gueule tout le temps, je crois. Faut que je sorte, que je me mette une taule.
Sinon j'ai perdu mes tickets resto.
Au revoir.
Bon je vais me remettre à bosser dans cette ambiance caractéristique du bureau où les gens sont heureux de vivre. En fait, si, ils sont contents, c'est moi qui fait la gueule tout le temps, je crois. Faut que je sorte, que je me mette une taule.
Sinon j'ai perdu mes tickets resto.
Au revoir.
mardi, juin 01, 2010
Ah le concert de -M- c'est du spectacle. avec Jeanne encore plus : quand une gamine de 3 ans crie dans un moment de silence à l'attention du musicien Maline qui accompagne en duo la star à tête de hibou "Oh le monsieur il est déguisé en couverture", c'est un peu la classe. surtout quand elle se retrouve dans la loge de l'ingé son... Je parle du backstage. eh ouais, son père a raté sa carrière mais elle dans le genre groupie-VIP de luxe c'est gagné !!!
A part ça bon week end à Tours, l'alcool coule à flot : normal c'était sous le signe Vitiloire, fête du vin locale donc... Hips !
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