
C'est bien je passe par ici tous les six mois désormais... Mais finalement j'écris plus pour moi-même que pour d'éventuels lecteurs. Les blogs sont presque morts et c'est peut-être mieux ainsi, remplacés par l'abominable Facebook, qui a enterré les mails aussi et la discretion avec. Bref, à propos d'enterrement je reviens sur le fameux "2 février" qui, s'il marque la naissance de Lud Verglas (on s'en branle un peu mais on est chez lui), marque désormais la fin officielle des White Stripes. Aussi triste que cela puisse être c'est aussi une bonne nouvelle. Les White Stripes ont permis à plein de groupe de se faire connaître à un moment où les médias et les incultes pensaient que le "Rock" et l'envie de s'éclater au son distordu de guitares décharnées et de batterie martellée sans complexe étaient morts. Un son garage sur des riffs d'inspiration blues-rock voilà qui donnait un peu de feu dans les esgourdes. Ils auront marqués pendant plus de dix ans la scène musicale et fait jaillir un musicien, guitariste batteur chanteur producteur etc. : Jack White. Figure incontournable désormais dans le monde de la musique, issu du blues parce qu'il n'y a que ça de vrai et que peu à peu le monde s'en rend compte. Même les Rolling Stones se sont tournés vers lui bien que l'on ne connaisse pas bien encore son rôle dans leur futur... s'il y en a un d'ailleurs. Les White Stripes finis c'est triste pour Meg puisqu'il n'est pas sûr de la revoir et de l'entendre (boum boum boum) et surtout triste pour ceux qui ne les auront jamais vu sur scène en vrai évidemment parce que les dvd existent et sont captivant. En s'arrêtant maintenant ils entrent dans l'histoire du Rock. Car, oui, un groupe doit savoir s'arrêter.
Bonne(s) route(s) les amis.
(P.S. : je choisi une tof de Meg parce que Jack on va le voir et le revoir en couv' partout éternellement...)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire