dimanche, juillet 30, 2006


Petit dimanche. Diffuser deux films catastrophes à la suite c'est de la gourmandise. Y'en a un c'est alain Delon qui pilote un concorde. Evidemment qu'il y a une catastrophe au final !! Qu'est-ce qui croient les gens, ils sont cons ou quoi ?
Bon alors qu'est-ce que je racontais moi encore la dernière fois... la mer, le retour etc. Samedi soir il était initialement prévu un petit dîner entre amis, cercle restreint. Rien qu'après l'apéro c'était déjà reparti ! Quelle santé. Evidemment je sais plus à quelle heure mais toute la "bande" des vieux potes qui débarque ça fait un choc et surtout beaucoup de bruit, ce qui n'est pas pour me déranger mais la voisine, là, faut qu'elle se calme parce que se faire traiter de "malades" elle abuse un tantinet. Au moins elle m'a pas envoyé les flics. Je sais pas s'il était 6h ou 7h00 du mat' n'empêche que les épaves que nous étions on dormi tout le dimanche. Et passer du lit d'une jolie sirène aux coussins du salon, par terre, y'a pas, ça fait déchéance, un peu quand même. Enfin voilà, un dimanche au perrier ça fait pas de mal. Je vais manger une banane c'est plein de vitamines. Demain, qu'est-ce qu'il se passe demain ? On verra. Je vais finir de mourir.

samedi, juillet 29, 2006



Moi je dis : rock'n'roll. Rock'n'roll ! C'est un bon résumé de la semaine. Parce que un dimanche paisible abouti forcément à une semaine de folie furieuse. Ce n'est, certes pas une certitude encore moins un dogme mais c'est souvent comme ça. Rebelote Lundi sans nuit. Le canal, des guitares accoustiques j'ai l'impression d'être un teenager mais vu que ceux qui sont présents pensent ça de moi je passe inaperçu. Il y a eu des bars aussi. Même un resto. C'est pas facile de se remémorer une soirée comme ça. Je sais au moins une chose : la canicule mardi était insupportable, et comme elle l'éatit toujours mercredi autant aller à la mer, non ? Etretat sur un coup de tête (c'est la mode les coups de tête) en tête à tête pour arriver sur la Manche sous les orages ! Enfin un peu de vacances et vlan enfin de la pluie ! Bah faisons fi de tout cela, l'air marin reste meilleur que le parisien et les mouettes à défaut de rire me font marrer. Trouver un resto un hôtel et un bistrot à Yport en cinq minutes je dis bravo. Parlons-en du troquet. "Les Falaises". Tout un programme. La tenancière lépreuse et sa fille 1,30 au garrot. Les habitués poivrots, une dent de requin autour du cou et nous, accueillis comme des rois. Une kro tiède s'il vous plaît. Et là bam ! descente de flics. La table derrière qui avait entonné à gorge déployée le Connemara de Sardou, continue mais à voix basse, pendant que ces connards de keufs menace de fermer le troquet. Ils vont rester là pendant une heure, se faire insulter par tout le monde (bon, ok, y'avait dix personnes) pour à la fin se plaindre de leur situation de flics mal-aimés !! J'y crois pas gertrude !! On a eu droit à une tournée générale. Après-ça, ben après ça, quoi. Ah mais ouiiiiiii !! THE événement of the month : j'ai nagé dans la mer ! Oui à l'indienne, bon, ok, mais quand même 5 bouées !! Tout ça pour rattraper une sirène au loin. Me suis même pas noyé.
Retour à Paris et apéro-dinatoire (c'est comme ça qu'on dit) qui se barre en vrille. J'ai des nouveaux amis. Et là je raconte pas la suite, parce que 1°) On s'en fout, c'est comme d'hab' 2°) J'arrive plus à écrire vu que je suis rentré chez moi à 8h30 et là ça répond au 1°).
Merci public. Faut que j'arrête de boire. Et de fumer. J'ai enfin la voix de Tom Waits, je vais pouvoir chanter Please, call me babe !

dimanche, juillet 23, 2006


Je sais. Il y a beaucoup de fautes d'orthographe dans mes derniers bulletins. Et bien pour la peine je vais continuer.
Si j'écris aujourd'hui c'est justement parce que je n'ai rien à dire à part que j'ai envie d'écrire, histoire de faire un peu fonctionner ce cerveau qui occupe ma boite crânienne. Et puis je dois me réhabituer à écrire des deux mains. Ca fait tout drôle, je vous assure. A part ça ? Les dimanches ressembleront toujours aux autres dimanches. 3 coups de fil sur 4 n'ont pas abouti, un américain gagne le tour de France, j'ai descendu les poubelles et ramasser une bouteille (en plastique, n'ayez crainte) que j'avais inconsciemment jeté cette nuit par la fenêtre, c'est dire mon état. Passionnante journée. Affronter une nouvelle semaine sans trop savoir ce qui m'attend. Caroline Alexandre est déchaînée sur mon signe mais elle dit n'importe quoi puisque le téléphone ne répond pas. Il pleure comme disait cloclo. Mais non je fais pas la gueule j'ai juste bu 17 litres d'alcool hier et que c'est pas facile à gérer le lendemain. Ah ben si Caroline Alexandre m'annoncait une migraine. Certes je l'ai pas, mais j'ai la gueule dans le cul. En même temps écrire forme : gueule dans le cul, ça fait pas sérieux, surtout qu'une gueule dans le cul à lire dans les astres ça doit être beau. A part la grande Ourse, moi, les astres...
Bon allez, le mot (phrase) de la fin, parce qu'il faut un mot (phrase) de la fin surtout le dimanche (si, si) : Bingo it's heaven.

jeudi, juillet 20, 2006


Et voilà encore une semaine de dégénérescence cérébrale. Non mais ça ne peut plus durer. Enfin, si puisque c'est ce qui c'est passé. Vous avez déjà connu des anniversaires qui duraient une semaine ? Commencer le jeudi pour terminer le mercredi suivant, y a un goût de marathon de la cuite je vous le dis. Pour la soirée du jeudi soir au vendredi matin ce fut déjà épique ! No comment. Déjà se retrouver au Mans le vendredi après avoir dormi deux heures c'est une sensation assez indescriptible. Un voyage en première classe gratos ça commence bien. Une attente au Mans de 7h00 permis de profiter des terrases de troquets. A quatre c'est plus rigolo. Comme on est venu nous chercher pour rallier le gite de la totale débauche festive vers minuit on était d'attaque pour une longue nuit et une pétanque. La pétanque fut courte mais la nuit très longue.
Samedi préparatifs de la soirée et accueil des arrivants pendant que certain(e)s dorment. Comme quoi on est encore capable de certaines activités. Soirée/nuit énorme. Je peux pas développer par respect de mes comparses et de mon image de marque.
Retour dimanche.
Rebelote lundi ou comment se biturer à deux pendant 34h d'affiler sans se coucher. Je passe là aussi les détails, la décence et ma vie privée en dépendent.
Mercredi soir qu'est-ce qu'il y a de prévu ? Ben un anniversaire pardi ! Et boum c'est reparti jusqu'à 10h00 du mat' ! Repos forcé le jeudi. Hôpital le vendredi matin (non, non pas pour une radio du foie), mais bien pour ce bras dont j'oubliai l'existence. Et bien fini l'attelle ! Pfft envolée !!
Sur ce, je vais me reposer un peu, c'est bientôt l'apéro.

jeudi, juillet 13, 2006


Je sais pas depuis combien de temps je suis pas venu ici. Ca fait presque une semaine que je comprends rien, que je ne vois quasiment pas le jour et quand je vois c'est flou. Mais c'est drôle. Va falloir se resaisir. Voyons voyons, tout a commencé me semble-t-il le soir de la coupe du monde... quoique deux jours avant j'ai dû prendre un apéro qui a duré jusqu'à dix heures du mat'. Alors, oui les bleus, zizou, tout ça, je suis dans un troquet je bois des trucs verts et puis plus rien. Le lendemain je mange italien et puis je bois un truc avec des bulles, du champagne ? Après, le jour suivant, j'me souviens je suis allé au resto avec deux amis, après un énorme apéro. Là aussi ce truc vert explosif et le cerveau qui fond, mais le barman et la serveuse s'amusent beaucoup. Les rêves sont profonds, le sommeil lourd mais paradoxalement je me réveille toutes les heures. Et puis les coups de fil à passer. Et tous les jours zizou à la télé. Et le tour de France, hein ? On y pense un peu ? A part ça, à part ça, l'horoscope c'est vraiment n'importe quoi : je devais passer un week end torride, et j'ai encore gagné le championnat du monde de rateaux quoique non y'a un soir où... hum. Enfin l'horoscope faut plus le lire ou alors je prends du Peyotl, un chamane chante et je lis la dernière page du Parisien, peut-être qu'il se passe un truc.
En attendant fait chaud, week end campagne si je comprends comment on y va. Ah les anniversaires, ça nous tuera...

mercredi, juillet 05, 2006

Calor


Ca devient du délire cette canicule. Elle n'est pas pire qu'en 2003, certes, mais là faut avouer que c'est vraiment du délire. En signe de protestation contre la chaleur dans l'immeuble, les occupants ont délibérément entreposé leur radiateur à la porte. A moins que ce ne soit les radiateurs eux-mêmes qui se soient exilés en quête d'un peu de fraîcheur ?
Quoiqu'il soit allez les bleus ! (ouais là c'est obligé, non ?)

mardi, juillet 04, 2006

Rififi chez les Loulous



Yep !
Et ben c'est clean chez Bertrand : lustres, peintures murales, moulures, pièces immenses, le buffet était énorme, on sait recevoir à l'hôtel de ville ! En plus on a réussi à esquiver la conférence (y'avait foot !) du coup arrivés pile poil pour jouer les vrais pique-assiette, que du bonheur et du champagne. Fin de soirée sur les quais, puis dans un appart' jusqu'à pas d'heure.
Réveil en fanfare samedi, Tours nous attendait. "Nous" parce qu'on était deux invités de marque et qu'en plus celui qui a deux bras peut conduire plus facilement. Température épuisante et cuisante, voyage en mini climatisée, nous sommes sauvés. Le Portugal élimine l'Angleterre qu'on nous dit sur RMC. Puis le squatte dans le jardin "bon anniversaire", six mois que je n'avais vu Christophe, la dernière s'était dans la voiture avant une plaque de verglas désormais célèbre. Là j'vé passer les détails parce que deux jours de picole ça s'imagine ou ça s'oublie. Je sais que la France a gagné, qu'il y a des jolies filles qui jouent au volley, qu'on peut avoir 44 ans et être la plus mignonne, et que le rosé ça tape la tête. Retour Lundi soir pour une soirée parisienne à la fraîche (!) accompagné d'une petite robe bleue très courte mais tellement charmante et rien que pour moi. C'est bon l'été.