mardi, août 14, 2007


C'est trop de la balle il pleut et comme beaucoup de travailleurs dévoués à leur tâche je suis en congé depuis ce soir jusqu' après demain. C'est trop fort la vie. Comme quoi on ferait mieux d'aller au turbin, puisque la météo a décidé de nous empêcher d'en profiter. Merci Sarko on a compris : pas question de se reposer sinon boum sur la gueule. D'ailleurs y'a qu'à regarder les vacanciers, ceux qui vont à la fête des loges ils se font arracher la tête, ceux qui prennent le bus ils finissent applatis, ceux qui font du canyonning ils se noient, sans parler des montagnards qui dévissent, des automobilistes qui dérapent etc. Restez au boulot c'est meux. Heureusement le week-end denier j'ai eu le temps de voir 3h00 de soleil (soleil de mes fesses dirait l'autre) et sur la mer en plus. OUI j'ai joué le petit (déjà qu'il est petit le nabot) président de la république prout prout sur mon petit (lui aussi) yacht. Prononcez yacht : c'est une erreur illustre que de dire yôt. Quoique comme le président gnangnan c'était pas mon bateau. D'où une magnifique photo jointe, là, oui là-haut là. Y'en a d'autre mais avec des femmes (en plus j'étais avec des femmes, le comble). Mais ça n'a pas duré et déjà je reprennais mon vélo et partais au boulot après le dodo. Vélo boulot dodo. Au passage je vous fait profiter d'une curiosité non négligeable sur le chemin du travail les Moulins de Pantin (Si, si, là où il est écrit Meunier BNP). Magnifiques bâtiments laissé en ruine et racheté par la fameuse banque qui y a apposé le nom de meunier (tu dors ton moulin va trop vite, je sais, sale feignasse de gauchiste). A propos de vite et bien j'ai affronté la petite pluie de merde en vélo et bien oui ça glisse et ça mouille (ça me rappelle autre chose, tiens). Mais c'était assez marrant ; c'est dire à quel point ma vie est totalement dénuée d'aventures et de la moindre péripétie. Pour pimenter ma soirée je me suis servi un martini avec une tranche de citron. Je vais pouvoir affronter le moustique nocturne qui vient me taper sa life au creux de l'oreille toute les nuits. Même la nuit on a plus le droit de se reposer.

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