lundi, mai 29, 2006


Difficile d'enchainer les soirées originales. Samedi soir la trilogie s'est finie à 4 puisqu'une jolie américaine enturbannée a été récupérée par l'inlassable Mister Nophone décidémment surdoué de la rencontre. Le 8 de coeur (je pense qu'il lui en fallait 7 à l'hôtel Mercure) pour lui, le gode jaune pour nous. Drôle de découverte. Moralité : God bless America (oui, je sais, mais fallait que je la replace).
Réveil souple du dimanche agrémenté de messages féminins, tout espoir n'est pas perdu, manque quand même l'élément Ninja.
Lundi hôpital, attente, attente et attente. Quoique la réplique du jour vient de la radiologue qui répondit à une patiente impatiente : "oui, il faut attendre, ça va durer longtemps mais on vous apportera un déjeuner". Elle, souriante d'ironie, l'autre explosive de fureur.
Tiens, du soleil ?

samedi, mai 27, 2006


Le vendredi de l'ascension on en parle jamais assez. Il faut se remettre du jeudi et heureusement il reste encore tout le week-end pour ça. Deux cents cafés permirent la reconstitutions des détails de la soirée Ninja, des échanges, des rencontres et des foirages faut tout mélanger et c'est que du bon qui en sort même si les suites n'arriveront pas. La Mlle C. est déjà sautillante vocalement au tel. pour son interview de The inventeur of Playboy. Non mais la soirée anniversaire mes couilles les amis ! Un vieux débris entouré de bombasses limites en plastok, c'est sillicone valley by night, je vous le dis. La trame de la journée me poussera à tournée autour de la butte, un bisou à la vacancière -ramène moi ton soleil- et hop déjà en tournée de cafés. L'ascension, l'ascension, allez plus haut au Refuge. Encore plus haut et c'est le Rêve. Puis la chûte au Chappe et définitivement au couloir. Pourquoi t'appelles pas ? Protocole de la drague organisée. Et pourquoi les deux vous êtes trois et du coup j'suis en touche ? Bah on s'en fout, il s'en est passé c'est le principal. Et puis le samedi c'est jamais vraiment ça, vaut mieux rester à comprendre myspace-moncul si ça vous dit je vous donnerai mon lien pour devenir un rien mais un rien style genre communautaire.
Pour la photo j'ai censuré évidemment, vous croyez quand même pas que je vais vous l'exhiber cette retouche haute couture ?

vendredi, mai 26, 2006



Une soirée en semaine ça assure. Après avoir traînaillé tous les soirs, traversant le vide intersidéral montmartrois, sous une météo à la con n'offrant aucun répis, le paroxisme de la solitude atteint, c'est le jeudi soir que la libération est arrivée. Mlle C nous a attiré à la soirée célébrant la sortie du dernier numéro de Ninja mag. La classe. Pour des raisons de gestion qu'il me serait long et fastidieux d'expliquer ici, c'est par demi litre de bière et à coups de caïpirhinia que l' on a démarré la soirée, emmené par une musique électro et des images sex déchirant les murs. Le semi strip tease de la coréenne était réussi sous les furies sonores de Ramstein. Les rencontres et discussions profitèrent comme d'hab au chroniqueur fou tandis que le bras cassé que je suis offrait son numéro de tel sans rien comprendre à rien. Après tout c'est un début. La palme revenant à Sbe qui parvint à se faire kidnapper un verre de caï par un type discret de 8 mètres de haut environ.
Retour en taco vers une nuit plus sombre poursuivi par mobylette girl. La fatigue nous a séparé et l'argentine est revenue chez les cons. L' ascension précède la chûte. Souriez vous êtes en week-end.

mardi, mai 23, 2006


News tardive mais la vache, avez-vous vu qui a remporté l'eurovision cette année ?! Incroyable ! Un groupe de métal, Lordi, des types déguisés, bruyants et surtout un titre de folie : hard rock hallelujah. Retour du satanisme, du death metal et autre antéchrist clouté ou banalisation du genre ? Tout un programme mais enfin un groupe marrant à ce concours de merde.
Volver de P. Almodovar est un très bon film, Pénélope y est sublime, j'ai rien suivi mais tout compris ou le contraire, quoiqu'il n'y a rien à comprendre.
J'ai les yeux qui piquent alors j'arrête là.

dimanche, mai 21, 2006


Un dimanche la tête dans le cul, je plane complet. Vendredi culturel avec une sortie dans le 11eme pour voir Lou la Requine en concert, que je ne saurai trop vous recommander. 16 pastis plus tard c'est en taxi que je suis rentré. Samedi tranquille café Mlle C, puis aprem avec Monica Bellucci (oui je sais elle est à Cannes, mais je vous jure que c'était elle), c'est pas encore cette fois-ci que je partirai en vacances avec elle d'ailleurs. Apéro qui n'en fini pas jusqu'au petit jour. Café Chappe vide, Pomponnette pleine. Oh la jolie rousse, oh le vilain bonhomme, oh la gentille dame, oh la méchante petite grosse, oh la belle cuite. Aïe le bras.
Retour en zig-zag, un soda et vite au lit. Mais c'est du gin dans le soda ? Méfiez-vous du chroniqueur de cocktail il est très très fort.

vendredi, mai 19, 2006



Après Saturday Night Fever, Grease. J'aurai vu deux fois la télé cette semaine et deux fois Travolta. Pour Grease, c'est quand même déroutant, surtout la scène du drive in. Rappel. John vient de se disputer avec Olivia et chante en pleurnichant sandy. Tandis qu'il conclue sa fantastique chanson, en arrière plan un écran de cinéma nous montre une scène de deux tranches de pain qui s'ouvrent et dans lesquelles une grosse saucisse vient se blottir. Hot dog. Ils sont forts ces américains. Quelle morale ! Après ça vaut mieux aller se coucher.
Nuit de cauchemars, décidémment en ce moment je rêve de catastrophe : attentats contre l'ONU, guerres, sang, la nuit dernière je mourrai noyé dans une voiture. Et pourtant j'évite de regarder les infos. Ce qui est rassurant c'est que je n'ai aucune don de voyance, donc n'y voyez aucune prémonition, juste le délire d'un type qui tourne plus très rond.
Sinon il y a deux jours une vieille modèle Jeanne Moreau anonyme m'a fait un gros clin d'oeil dans un bistrot. J'ai la libido au top.

mercredi, mai 17, 2006


Il manquait une petite légende pour hier. Le bar romain, les cocktails etc. remember et bien si vous voulez toucher Philip Stark faut descendre aux chiottes. C'est tout.
Il semblerait que dès la veille de match les supporters s'animent. Les gros bébés anglais trainant au pub chantant solennellement la pinte à la main, s'agitant comme des mômes du haut de leur 150 kg et se faisant fermer le clapet par une blonde qui hurle qu'elle n'est point une catin. Respect madame. Ils n'ont pas été convaincu lorsque qu'un fourbe leur a dit que le Barça allait gagner because Ronaldhino/Brazil + cocaïne = "fft fft goal". Bah ça les a fait sourire, heureusement vu la dimension des engins. La soirée poursuivait la continuité d'un journée noire. Mais pourquoi se plaindre, je pourrai être dans un avion pour hong kong avec une rage de dent ou me réveiller la gueule dans le cul aux côtés d'un thon. Et puis une de perdue dix de retrouvées alors quand c'est deux de perdues ? Champagne ! Ah si, le scoop drôle était la confirmation en direct depuis Cannes que le davincicode est une belle merde mais je n'ai pas d'echo de l'after, donc ça devait être plutot drôle. Bye.

mardi, mai 16, 2006



Pffouuuuu !!! Après un week-end chô les marrons chô repos du dimanche soir devant saturday night fever, film intéressant pour sa mode vestimentaire, le machisme hallucinant de Travolta, son fameux déhanché légendaire et les inoubliables Bee Gees qui ont laissés leurs couilles au vestiaires. Que du bonheur. Je passerai sur le film d'horreur qui suivait dont j'ai retenu une réplique "bon sang mais vous êtes encore plus bouché que mes chiottes !"
Hier soir j'ai accompagné mon acolythe qui faisait une chronique cocktail. Au bout d'un verre je voyais double et je crois bien que le photographe s'accrochait à son appareil. C'était de la dynamite ses trucs au gars. Par contre c'est promis j'invite une (jolie) fille à l'happy hour champagne dès que possible. On est reparti avec le sourie niait de journalistes satisfaits du travail bien fait. Y'a des boulots sympa dans la vie.
Sinon est-ce qu'on pourrait pas se mettre tous d'accord une bonne fois pour toute sur la prononciation de chorizo (tchorizo, korizo...) ?

jeudi, mai 11, 2006


Mais quel est le sale connard qui a siffler toute la matinée life is life ? Il ne savait pas siffler et l'air était très bien choisi. Comment pourrir une grasse matinée ? Vive les voisins. Heureusement la soirée d'hier était paisible puisque j'ai opté pour le rien malgré l'envie. Ah si j'ai fait un petit tour et suis revenu avec un sabre laser. Elliot, on a oublié de faire un combat.
Bon, y'a du soleil ce serait con de rester enfermé.
Loutch

mercredi, mai 10, 2006


Journées pluvieuses du mois de mai, températures douces du mois de novembre, y'a plus de saison ma bonne dame. La trève de la pluie m'a permis de quitter la morosité ambiante pour rejoindre quelques potes pour l'apéro, aux bons vieux horaires 20h00-2h00. Succession de têtes différentes, de discussions plus ou moins sérieuses, se laisser aller à boire des bières en fumant clope sur clope, répondre à quelques appels comme si soudainement la vie avait repris et que l'action se préparait quelque part. Que du bonheur. Certes une bonne averse nous a rincé au retour mais vu le bon déroulement de cette soirée tranquille à la tournure improbable nous fîmes fi de la pluie.


mardi, mai 09, 2006


Hébé ça fait plaisir de revenir à Paris. Une semaine de soleil-plage-barbecue et bingo ! de la pluie et des températures hivernales sur la capitale. Quelle merde. Y'a plus qu'à déprimer en fait. Ca sert à quoi de bronzer si c'est pour rester enfermé ?
Le vol de retour était come d'hab'. Une touffe de cheveux dans la tête avec la voisine du devant qui s'était mise en position transat, la grosse dame à moustache à ma droite me calait contre le hublot et sa panique en avion était alimentée par le sale gosse derrière moi qui s'agitait et s'écriait en continu "papa si deux avions se rencontrent ça explose ? Et pourquoi l'aîle elle bouge ?? Oh y'a tout qui tremble !! hiiiiiiiiiiiii !!!!" L'hôtesse se prenait pour une incarnation de haricot souriant, elle avait dû composer le menu vu la dimension microscopique du sandwich. Par contre on notera un gros manque d'amour du pâtissier qui avait concocté un brownie, sorte de pavé chocolaté, dont le poids aurait été interdit à l'enregistrement. L'orlybus était rempli d'italiens braillards et d'une créature seule et superbe dont tous les gros cons scrutaient sans répi la poitrine avenante alors que ses chaussures me rappelait la mexicaine dans le livre ask the dust de Fante. Chacun son truc.
C'est normal qu'il fasse nuit à 14h17 ou c'est moi qui devient aveugle ?

lundi, mai 01, 2006


1er mai, fête du travail, tout est fermé, les défilés et tout le toutim. Mmh.
Je suis zen mais je cogite. Le problème de réciprocité. Vous êtes-vous déjà posé cette question : est-ce que j'ai déjà dit merci ? Je me demande si, comme le disait Elie Wallach, le monde est divisé en deux catégories. Ceux qui aident les autres et ceux qui se font aider. Ceux qui se font aider agissent comme ceux qui aident, c'est-à-dire que, pour eux, c'est naturel. Voilà un lundi un brin (de muguet) philosophique à deux balles.

L'affiche était belle mais l'expo
Ultra Peau au palais de Tokyo ne vaut pas le détour. Faut peut-être avoir une passion pour la crème nivéa et dans ce cas ça passe. L'autre expo à côté est rigolote sans plus. Critique d'expo du lundi, ça le fait. Ce blog devient lourdingue je vais prendre des vacances et je reviendrai plus en forme dans une semaine.
Ah oui la pub : N'oubliez pas de vous offrir le dernier numéro du magazine
Monsieur. Est-ce que quelqu'un sait au moins qui était Santos Dumont ?
P.S. : la photo c'est juste mon activité de la semaine résumée et aussi pour vous éviter une tof de ma nouvelle coupe de veuch.